Protéger le vivant
Parce que la Nature et l’Homme ne font qu’un et que leurs vulnérabilités nous obligent à agir, le fonds de dotation Anyama se donne pour mission de protéger le vivant.
Parce que la Nature et l’Homme ne font qu’un et que leurs vulnérabilités nous obligent à agir, le fonds de dotation Anyama se donne pour mission de protéger le vivant.
Nous avons épuisé notre planète, puisé dans ses ressources sans penser que la nature qui nous entoure et le vivant qui la compose sont fondamentaux à notre équilibre et à notre survie.
Anyama s’engage à soutenir et agir avec celles et ceux qui veulent protéger le vivant et les liens qui unissent durablement l’Homme et la Nature.
Surexploitation forestière, agriculture intensive, pollution, érosion massive de la biodiversité,… menacent notre maison commune. L’Homme aussi est vulnérable, et nombreux sont ceux qui s’épuisent dans le soin de leurs proches en perte d’autonomie.
Anyama agit pour protéger le vivant et retrouver une cohabitation équilibrée et respectueuse entre la nature et l’humanité.
Plus de la moitié des plantes forestières sont considérées comme menacées en métropole.¹
La forêt française couvre aujourd’hui 16 millions d’hectares, soit le tiers de sa surface originelle.²
Le nombre d'animaux vertébrés a diminué de 68% en à peine 50 ans.³
11 millions d’aidants familiaux, soit un Français sur cinq, dont beaucoup en situation d’épuisement.⁴
Anyama concentre son pouvoir
d’agir sur 3 axes fondateurs :
Poumon vert de la planète, lieu de vie et de subsistance de très nombreuses espèces animales et végétales, les forêts jouent un rôle prépondérant pour la biodiversité et dans la lutte contre le changement climatique. Préserver les forêts, c’est protéger le vivant et la planète.
Malheureusement, elle s’érode : les taux actuels d’extinction suggèrent que nous vivons une sixième période d’extinction de masse. Au-delà de sa valeur propre, elle nous est indispensable au quotidien : pollinisation, épuration de l’eau et de l’air, qualité et diversité alimentaire, captation carbone, résilience face au changement climatique,… Préserver la biodiversité, c’est protéger le vivant et veiller sur notre propre avenir.
L’être humain a ses propres vulnérabilités. Vieillesse, handicap, accident, maladie… C’est le plus souvent un membre de la famille qui assume, en plus de son travail, la responsabilité d’une personne en perte d’autonomie. Les aidants familiaux sont un maillon essentiel de notre société. Les accompagner, c’est aussi protéger le vivant en chacun de nous.